Courir La Parisienne sous la pluie…

Malgré une douleur au genou qui m’empêche de m’entraîner depuis plus de deux mois, je me suis lancée hier matin dans ma deuxième course La Parisienne…sous la pluie.

Je vous avoue que je me suis traitée de tous les noms d’oiseaux lorsque, samedi soir,  j’ai vu les prévisions météo pour le lendemain. Me lever à 7h un dimanche matin pour aller courir sous la pluie… quelle folie ! Heureusement que je m’étais engagée pour être dans la Team NIVEA. Pas moyen de me défiler.

Après une nuit courte, un réveil pluvieux et un petit-dej’ rapide, j’ai pris mon sac poubelle coupé en poncho (une merveille d’élégance) et je suis allée prendre mon métro un peu vaseuse. L’équipe NIVEA a su m’accueillir chaleureusement et me motiver.

Nous sommes parties vaillantes vers le sas de départ, mais pas suffisamment tôt pour éviter 90 minutes d’attente sous la pluie. C’est vraiment LE point négatif de La Parisienne, d’année en année.

Quand mon tour est enfin arrivé, je n’avais qu’une envie : courir pour me réchauffer. Si j’ai eu des moments difficiles l’an dernier, ca a été beaucoup plus facile cette année. Connaissant les 6,7 kilomètres de parcours, j’ai profité de toutes les animations musicales qui balisent le parcours et des encouragements des badauds. Leur énergie m’a galvanisée et portée de kilomètre en kilomètre jusqu’à l’arrivée sous des trombes d’eau.

Je n’ai pas couru vite pour ménager mon genou (44 minutes 21), mais je me suis fait plaisir. On recommence La Parisienne l’année prochaine, mais sous le soleil, l’équipe NIVEA ?

Mille mercis à Nivéa et à Sophie pour l’invitation et la multitude d’attentions qui me sont faites tout au long de l’année.