Ford KUGA, un week-end à l’américaine

Ce week-end, c’est au volant d’une Ford Kuga que nous avons voyagé. Au programme : une journée à Trouville, une autre à France Miniature, un barbecue chez des amis à la campagne et une longue balade dans les rues de la Capitale.

N’attendez pas de moi, un avis détaillé sur la qualité de transmission intégrale, la motorisation, … Il existe déjà pléthore d’articles détaillés sur le sujet. Je vais plutôt partager avec vous le ressentit de toute la famille à l’issue de ces quatre jours.

Notre prise en main de la Ford KUGA

Lorsque j’ai vu la KUGA pour la première fois, j’ai été agréablement surprise par le design de cette voiture. Elle dégage un sentiment de sécurité et de confort.

Ce sentiment s’est confirmé, lorsque j’ai pris place à bord. Contrairement à certains véhicules dans lesquels je dois jouer avec l’ensemble des réglages de mon siège pendant une bonne dizaine de minutes avant de trouver ceux qui me conviennent, j’ai trouvé très rapidement ma position de confort.

Avant de pouvoir partir ‘tailler la route’, nous avions deux défis de taille à relever : installer les équipements de sécurité de nos trois enfants, puis les installer à bord.

Défi N°1 : installation des équipements enfants

A la naissance de Gustave, nous avons pris la décision de ne plus avoir de voiture. Nous louons donc régulièrement des véhicules. A chaque fois que nous prenons possession d’un nouveau véhicule, le premier défi que mon mari doit relever est celui de l’installation de nos sièges auto.

Jeanne & Gaspard n’ayant pas encore dix ans, nous privilégions l’utilisation d’un rehausseur groupe 2-3 pour les trajets de moyenne et de longue durée. Les deux raisons principales qui nous motivent sont l’existence

Pour Gustave, nous sommes toujours sur un siège groupe 2. Il est ainsi confortablement installé et surtout fermement tenu.

Il nous faut des voitures avec une large banquette arrière. C’est le cas du Ford KUGA qui relève avec brio ce premier défi.

Le second avantage de ce SUV est la hauteur sous plafond au niveau des places arrières. En effet, il ne suffit pas de pouvoir installer les 3 sièges les uns à côté des autres. Il faut aussi pouvoir remonter les appui-têtes des fauteuils de Jeanne et de Gaspard suffisamment haut pour qu’ils puissent voyager dans de bonnes conditions.

Une fois installés sur leurs rehausseurs, Jeanne et Gaspard sont encore loin de toucher le plafond. Ils ne se sentent pas enfermés aux places arrières. La présence d’un toit en verre leur a même donné un sentiment de liberté.

Défi N°2 : accessibilité des places arrières aux parents

Jeanne et Gaspard sont maintenant suffisamment grands pour s’installer tout seuls. Charge à nous, parents, de vérifier le passage de la ceinture de sécurité et de la verrouiller. Alors que sur certains véhicules cette opération vire rapidement au cauchemar, elle reste relativement aisée sur la Kuga.

La seconde partie de ce deuxième défi concerne l’installation de Gustave. Cette opération peut rapidement s’avérer compliquée surtout quand il dort. C’est une autre bonne surprise du KUGA.

Que ce soit mon mari ou moi, nous n’avons pas éprouvé de difficulté particulière pour accéder au siège de Gustave. La garde au sol du véhicule et la hauteur sous plafond des places arrières sont idéales. Il n’est pas nécessaire de se baisser lorsqu’on le porte dans les bras. Le dos est ainsi préservé. C’est important lorsque l’on multiplie les petits trajets !

Le Ford KUGA face au défi de la route

Ainsi parés, nous avons pu prendre la route pour Trouville et éprouver les qualités routières de notre voiture sur un grand trajet.

Commençons par les deux points négatifs, partagés avec mon mari :

Heureusement, nous avons eu de nombreuses satisfactions.

Nous avons vraiment apprécié la hauteur au sol et la position de conduite.

L‘indicateur de présence de véhicules dans l’angle mort est  un plus. A noter cependant, quelques difficultés à détecter les voitures très basses types sportives, comme ce spider Alpha Roméo croisé dans les rues de Paris.

Le régulateur de vitesse couplé au réducteur de vitesse en cas de présence d’un véhicule devant vous. Cette innovation devrait être obligatoire ! C’est vraiment un gros atout dans la conduite. Nous sommes arrivés reposés à Trouville, sous un agréable soleil estival.

Autre point de satisfaction : la capacité d’accueil du coffre. Nous avons pu caser notre poussette BOB Ironman dans le coffre en la pliant, mais sans avoir à démonter les roues. L’ouverture automatique du coffre et le seuil de chargement assez bas facilitent vraiment la vie des parents !

L’existence d’une grille de protection solidement attachée à la banquette arrière permet de charger au maximum le coffre, puisqu’il n’y a pas de risque de voir une partie des bagages aller heurter les enfants.

Rajoutez à cela quelques astuces comme une prise électrique 220V parfaite pour mettre à charger les tablettes des enfants, une boite à gant réfrigérée et vous voilà prêts à partir pour de longs trajets.

Le verdict de la famille

Après 4 jours passés avec la Ford KUGA, nous l’avons rendu avec quelques regrets. Toute la famille était un peu nostalgique de ce weekend particulier.

Le toit en verre vitré et ouvrant au niveau des places avant, y est pour beaucoup. Nous avons tous apprécié notre promenade dans Paris les cheveux au vent.

Cette voiture est parfaite pour voyager en famille, mais elle n’est pas adaptée à notre vie de Parisiens, à moins d’avoir un parking privé. On sent bien son ADN américain ! Heureusement que le modèle de prêt que nous avions était équipé d’une caméra de recul, qui nous a permis de la garer sans toucher les autres voitures !

Le mot de la fin revient à Gaspard et à Gustave : « elle est à moi la voiture de Papa, non à moi, non à moi … »

 Plus d’information : http://www.fordkuga.fr/